MacTabac
Dorénavant, préférez vous adresser ici.
Fumée, fumée, de la tasse à clope, qui rentre par une oreille, qui embrume les yeux et colore la bouteille descendue, vertigineuse, dans les ventres d'où naissent les enfants et la rage.
Minuit: douze coups.
L'horloge frappe dans le crocodile, la cloche tonne sur la ville et l'on tend l'oreille, l'œil aux aguets, pour entendre l'histoire qui commence: premier chapitre. Deuxième chapitre.
Et puis le ton s'envole, rapide, il nous tient, haletant... Alors on peut conclure. Et revenir à la vie.
Bienvenue dans la bibliothèque enfumée.
Dans la bibliothèque enfumée, la forme est un prétexte à l'expression d'un fond entièrement dépendant de l'humeur de l'auteur. On ne s'inscrit pas, ici, dans un héritage vis-à-vis d'auteurs classiques, ni dans un purisme formel: les règles sont allègrement transgressées, parfois totalement ignorées, parfois scrupuleusement respectées... Aucun importance: tout ceci ne reste que le prétexte. Toutefois, un équilibre se dessine au fur et à mesure des publications. Mais pour entrer sans trop de violence, il faut savoir que, sauf rares exceptions, lorsque qu'un mot commençant par une voyelle suit une combinaison "e" muet - consonne(s), la ou les consonnes concernées sont ignorées comme on le fait à l'oral et il n'y a donc qu'une syllabe, qu'un pied, et non deux.
C'est dit. C'est dit. C'est dit. On passe au vif du sujet? Tout en bas: "Page suivante".
Par la page "Toute la bibliothèque", ici à gauche, vous pouvez trouver des sonnets bizarres et étranges par leur mois de publication ou par une liste vertigineuse de tags. C'est assez fou. Vous avez aussi accès à des trilogies!
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L'humeur noirte (poésie vache à rebrousse poils), la friche numérique de Geörgette Power, l'excroissance (mi-philosophique, mi-raisin), les fragments de Ron MacStanley, la prose au thé de Plum, les murs barbouillés de Brest, le petit parcours de travers, et retrouvons-nous peut-être pour une littérature équitable?